Page 28 - Miracles et Signes
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Prophétie / Prédiction


                            Prophétie / Prédiction

          L’Évêque-à-l’Épée prédit ma guérison

          Ceci est un témoignage de ma merveilleuse guérison par l’Évêque-
          à-l’Épée.

          En été 1989 j’avais eu une forte grippe qui entraîna la perte de mes
          sens du goût et de l’odorat. Autrefois j’avais demandé à mon médecin
          de famille si cela était curable, et sa réponse fut: „Non, là on ne peut
          rien faire.“ Je l’avais accepté et pris comme sacrifice.
          Lorsqu’en 1992 nous étions de nouveau, comme chaque année, à Re-
          hetobel pour la fête de DIEU le PÈRE, j’ai demandé à M. P. S. si
          l’Évêque-à-l’Épée ne pouvait pas m’aider. Elle me conseilla de le
          demander moi-même à l’Évêque-à-l’Épée, ce que je fis d’ailleurs.
          L’Évêque-à-l’Épée me donna pour réponse que ce n’était pas encore le
          temps d’opérer des miracles. J’ai accepté de nouveau cela aussi
          comme sacrifice. Et c’était assurément un sacrifice, même un grand
          sacrifice. Car on ne sait pas ce que l’on a dans l’assiette, puisqu’on ne
          peut ni sentir ni goûter. On mange parce qu’il le faut, oui on est même
          content quand on a fini de manger. J’ai fait l’expérience de quel grand
          bien le Créateur nous donna par ces organes des sens.
          En septembre 1993, à la fête de DIEU le PÈRE, nous nous retrouvions à
          Rehetobel et là l’Évêque-à-l’Épée me demanda si je ne voulais pas
          revenir en novembre pour quelque temps, afin que je parle des notes
          que j’avais prises sur l’Évêque-à-l’Épée les dernières années, depuis
          notre première rencontre à Spaubeek, et que je les enregistre ensuite
          sur cassette.
          C’est ce que j’ai fait, et durant mon séjour à Rehetobel arriva ce qui
          suit: Après environ une semaine et demie je disais à mes compagnons
          de table que le pain était si bon, le beurre merveilleux, le café déli-
          cieux, etc. Cependant je ne pensais pas une seule minute que j’aurais
          retrouvé mes sens du goût et de l’odorat. Après quatre années je ne
          m’y attendais plus. – Un jour que la cloche sonnait pour le repas, et
          que nous passâmes devant la cuisine, je m’écriais: „Oh! Que ça sent
          bon ici!“ Moi-même je n’étais pas encore consciente de ce qui se pas-
          sait, jusqu’à ce que nous soyons assis à table et que l’abbesse ouvrit la
          porte de notre salle à manger en disant: „Martha, tu sens quelque

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