Page 29 - Miracles et Signes
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Miracles et Signes

          chose?“ – J’étais si effrayée que dans le plus grand étonnement je
          battais des mains en poussant peu après des cris de joie. Quelle joie! –
          Et ensuite je me rappelais les paroles de l’Évêque-à-l’Épée qu’il m’avait
          dites un jour: „Lorsque tu reviendras un jour à Rehetobel et si DIEU le
          veut, tu guériras.“ Et ainsi sa prophétie s’accomplissait! – Je remercie
          toujours DIEU le PÈRE de cette grâce surnaturelle!
                                                              M. B. (Doc. N° 29)



          Des chevreuils vont traverser la route

          De très bon matin, l’Évêque-à-l’Épée roulait sur une départementale à
          grande vitesse. Soudain il me dit, à moi passagère avant: „Il faut que je
          ralentisse à présent; des chevreuils vont traverser la route.“ Je ne vis
          rien nulle part, puisqu’il commençait à peine à faire jour. Effectivement
          peu de temps après un chevreuil bondissait sur la route. Puis je pen-
          sais: „Bon maintenant c’est passé, pourquoi n’accélère-t-il pas?“ Puis
          non loin derrière suivait le deuxième chevreuil. Je le regardais d’un air
          étonné; comment pouvait-il bien le savoir? Il dit: „J’ai pressenti qu’un
          autre le suivait.“
                                                            M. P. Ä (Doc. N° 30)


          Une vision future effrayante

          L’Évêque-à-l’Épée raconte: „Dans une terrible vision me coupant le
          souffle je vis la terre dévastée, détruite, brûlée. – Des traînées sulfureuses
          jaunes et des nuages radioactifs recouvraient la terre comme une mort
          insidieuse. Il n’y avait plus aucune vie, ni plantes, ni animaux, ni hom-
          mes. Cette vision ainsi que de savoir que les hommes rejettent l’amour
          de DIEU, qu’ils n’écoutent pas le moins du monde les avertissements,
          étaient si terribles que mon courage de vivre s’écoulait entièrement et
          que j’avais envie de retourner chez mon PÈRE. ,Il n’y a plus rien en quoi
          je peux me réjouir!‘, dis-je à DIEU. Au moment où ma volonté de vivre
          était au plus bas, croyant que ceci était maintenant la fin, DIEU dit:
          ,Regarde!‘ – Au milieu du paysage vaste, désert et brûlé, je vis une
          toute petite fleur, ressemblant à une marguerite, qui poussait dans
          cette terre contaminée et sulfureuse. – ,SEIGNEUR!‘, dis-je, ému par cet
          amour de DIEU que je vis dans cette seule petite fleur, ,Je veux vivre


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