Page 12 - Miracles et Signes
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Par le pouvoir des sacramentaux


                    Par le pouvoir des sacramentaux
                                  (eau bénite)


          Guérison prodigieuse de mon père
          Ce témoignage fut rédigé de ma propre main après la guérison bien
          prodigieuse et l’amélioration de l’état de santé de mon père.
          À la hâte une brève récapitulation des faits: Le 24 novembre 1997
          mon père fut hospitalisé à cause d’une hémorragie cérébrale. Après
          trois semaines d’hospitalisation et divers examens une tumeur perni-
          cieuse au poumon gauche fut diagnostiquée. L’ablation du poumon en
          question aurait des séquelles catastrophiques. C’est pour cette raison
          que les docteurs suggérèrent de faire une radiothérapie. Mon père
          l’avait commencée alors en fin janvier 1998. Ce traitement devait être
          fait en 32 séances.
          Nous sommes maintenant au début du mois de mars 1998. Papa avait
          perdu plus de 20 kg et était sur le point de mourir. Il se sentait aussi très
          mal et indisposé. Au début du mois d’avril il devait aller à l’hôpital de
          Bree pour un examen supplémentaire. Il subit à nouveau un contrôle
          sanguin et le résultat était qu’il avait un cancer au 5 ème  degré (le plus
          avancé).
          Alors je fus appelé aussi à la délibération des docteurs, me disant ou-
          vertement qu’il n’y avait plus d’espoir pour mon père; il ne verrait plus
          ce Noël 1998, sa vie durerait six mois tout au plus. Il me fallait être prêt
          à tout, me disaient-ils. Le printemps était à sa fin et l’état de mon père
          s’aggravait systématiquement.

          Jusqu’à ce qu’un bon ami, J. D., passa me voir et que je lui racontai
          toute l’histoire. Il m’écouta avec attention et une semaine plus tard il
          revint me rendre visite avec une bouteille d’eau sacralisée (eau bénite
          de l’Évêque-à-l’Épée). Il me dit: „Si votre père finit cette bouteille, et je
          sollicite en plus le soutien d’ordre supérieur, il guérira.“ Nous étions un
          peu sceptiques, mais mon père n’avait plus rien à perdre.
          Donc il but simplement chaque jour une gorgée jusqu’à ce que la bou-
          teille soit tout à fait vide. Après quelque temps (deux à trois mois) vint
          une petite amélioration. Plus nous nous approchions de Noël, plus
          mon père allait mieux, notamment à vue d’œil!


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