La succession apostolique

Dans les matéri­aux rassem­blés suiv­ants, les divers­es lignes de suc­ces­sions sont doc­u­men­tées, lesquelles se rejoignent toutes en l’Évêque Hugh George DeWil­l­mott-New­man, Patri­arche de Glas­ton­bury en Grande-Bre­tagne. De même il y est con­fir­mé que ces suc­ces­sions ont été con­férées à l’Archevêque Maria Josef Thiesen de Cologne par Alois Stumpfl. Une autre con­sécra­tion, con­firme incon­testable­ment la pos­ses­sion de la suc­ces­sion apos­tolique de la ligne uni­ate-arméni­enne et anti­ochi­enne, que Thiesen sub con­di­tione a reçu de l’évêque vieux-catholique romain Thomas Tol­lenaar d’Arnhem le 4 novem­bre 1951. L’évêque Jean Brom que Thiesen con­sacra, sacra évêque Gérard Franck, sous l’assistance de Thiesen ain­si que des évêques Bey­er et Smekal de Kiel. Je fus ordon­né prêtre et le 24 août 1977 sacré évêque à Sit­tard (Pays-Bas) par l’évêque Franck.

Des témoins fiables de mon sacre d’évêque appar­ti­en­nent au­jourd’hui à l’association des Nou­veaux-Chré­tiens fondée par moi.

Pour une meilleure clarté, nous avons classé toutes les listes de suc­cessions assurées par ordre de con­sécra­tion épis­co­pale et numéroté de 1 à 14.

Dans 14 lignes dif­férentes, 7 suc­ces­sions se mon­trent avérées, desquelles unique­ment une suc­ces­sion apos­tolique suf­fit pour la valid­ité de la suc­ces­sion des Apôtres. En plus dans l’appendice se trou­ve l’aperçu des 14 lignes pour y faire une com­para­i­son exacte. Nous n’avons aucune con­fir­ma­tion sup­plé­men­taire pour les trois évêques de lignée angli­cane nom­més dans la ”Cor­po­rate Reunio­n­is”:

L’Éternel Gar­di­en de Rome — Niko­laus Schnei­der comme garde Suisse

Moss­mann, Lee et Sec­combe, aux­quels une triple suc­ces­sion est cer­ti­fiée, à savoir: la suc­ces­sion gréco-(byzantine), syri­enne-melkite et catholique romaine.

D’après ces indi­ca­tions Moss­mann et Lee ont été recon­nus valides par l’Église catholique romaine. Ain­si ces suc­ces­sions s’appliquent à DeWil­l­mott-New­man et  à ses suc­cesseurs.

Celui qui veut donc met­tre en doute la valid­ité de mes Ordres pour des raisons quel­con­ques, nous lui con­seil­lons d’examiner per­son­nelle­ment auprès de ma per­son­ne, la sub­séquente “Suc­ces­sion de la pure doc­trine apos­tolique” mise en relief par F. W. Haack.

En out­re nous le ren­voyons à une exper­tise de droit canon rédigée par le Mag. Hel­mut Deixler de Vienne le 13 décem­bre 1985 con­cer­nant la valid­ité de ma con­sécra­tion épis­co­pale.