Où a‑t-on vu ce souci pas­toral pen­dant la pandémie du Coro­na? Là, les hommes du monde, les gou­verne­ments, étaient autorisés à ordon­ner quel Sacre­ment était admin­istré et lequel ne l’était pas. C’était exacte­ment comme sous le com­mu­nisme. C’est ce qui se passe en Chine. Réveillez-vous! „Rends compte de ton min­istère“, te dira DIEU, évêque, lorsque tu devras com­para­ître devant Lui. Rends compte de tes bre­bis et de tes agneaux que DIEU t’a con­fiés – de cha­cun d’eux! Beau­coup repar-tent, c’est comme ça, – je ne peux pas le dire pour moi, peut-être une fois par-ci par-là – et cela fait mal à l’évêque, s’il est bon, car DIEU donne les agneaux, les bre­bis dans son cœur.

À l’évêque, tes bre­bis con­nais­sent-ils ta voix? Lorsque j’étais au télé­phone, je ne pou­vais générale­ment même pas dire qui j’étais qu’on me dis­ait de suite: „L’Évêque-à‑l’Épée!“ La voix d’un évêque devrait être con­nue de ceux qui lui sont con­fiés, comme cela s’est pro­duit un jour pour un berg­er à qui l’on avait volé 111 mou­tons. Il est allé à la police, on a cher­ché les mou­tons, on a cher­ché, mais ils n’ont rien trou­vé. Quelques semaines plus tard, la police a appris qu’un impor­tant trans­port de 5000 mou­tons pour l’étranger était prévu à Cologne. Elle a infor­mé le berg­er qu’il devait se ren­dre à cette gare pour savoir si ses mou­tons fai­saient par­tie du trou­peau. Le jour de l’embarquement, le berg­er se trou­vait à la gare avec des policiers et l’énorme trou­peau pas­sait devant eux. Le berg­er fai­sait alors reten­tir son appel à de courts inter­valles et, petit à petit, les bre­bis du grand trou­peau venaient le rejoin­dre les unes après les autres. Lorsque tous les mou­tons furent chargés, on comp­ta … plus