Par­fois, des gens vien­nent qui n’ont plus rien eu à voir avec DIEU depuis peut-être quar­ante ou cinquante ans. Alors ils atten­dent que je leur révèle désor­mais tout ce qui les mèn­era à la per­fec­tion. Non! Saint Paul n’a‑t-il pas dit aux pre­miers chré­tiens, après leur Bap­tême: „Je vous ai don­né à boire du lait et non de la nour­ri­t­ure solide, parce que vous ne pou­viez pas encore le sup­port­er.“ Vous non plus, vous ne pour­riez pas encore le sup­port­er. Pour aller au Ciel, cela va étape par étape. On ne monte pas qua­tre ou cinq march­es à la fois, sinon on tombe. On peut peut-être gliss­er, mais il suf­fit de se relever et de con­tin­uer. Comme je le dis tou­jours: „Soyez un pous­sah.“ Je viens de ressen­tir une nou­velle douleur: Quelqu’un que le dia­ble a rat­trapé après qu’il soit déjà venu chez moi, n’a guère encore eu le courage de revenir à moi. C’est la plus grande des bêtis­es! Je suis juste­ment là pour les pécheurs.

Met­tre tout en œuvre
Mon DIEU, qu’est-ce que j’ai vécu. Cela remon-te à de nom­breuses années. Le SAUVEUR m’a dit un jour: „Niko­laus, il est impor­tant que Satan puisse employ­er tous les moyens avec toi; il peut te ten­ter dans n’importe quel péché, dans n’importe quelle faib­lesse. Si tu ne le veux pas, Je ne te lais­serai pas tomber dans le péché, mais tu dois ressen­tir la ten­ta­tion. Car tu serais trop con­séquent. Tu dois appren­dre à … plus